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Sur la place d'un marché, une foule abonde,
J'ai frayé un chemin à travers cette ronde,
Assouvir ma curiosité, ne point la froissée,
celle d'un troubadour, à l'esprit bien retroussé,
Quand j'ai vu une bohème, joliment habillée,
Portant une longue jupe au corsage scintillé.
Elle chantait sa douleur, avec une grande foi,
La foule en liesse applaudissait dans la joie.
Elle était d'une légèreté et d'une grâce,
Son corps enchanté toute âme sur la place.
Les enfants sautillaient, quant aux vieux, que silence,
Écoutant ses récits aux belles résonances.
Et moi, esprit inondé, sous mes haillons, féal,
A la recherche de thème, de vers, d'un idéal,
Au fond de mon escarcelle, niche peu de sou,
je plonge mes phalanges, plus braves que les sioux.
Recherchant ma richesse au creux de mon âme,
Cette prairie clairsemée d'amour et d'amitié,
Témoignant de mon grand respect à cette femme,
je jette tout mon lyrisme, tel argentier.
Elle chante et danse en cercle avec aisance,
Laissant tous ces petites gens émerveillés,
Elle a su garder toute sa complaisance,
Cette fille qu'on avait su, si bien élevée.
Il parait chez elle, un ancien héritage,
De conter la vie en rimes et versification.
Panser blessures et redonner avantage,
A ces milliers de gens, qui prêtent attention.
A la fin, elle salut d'une révérence,
Les villageois, qui lui témoignent admiration.
Elle reprend son chemin en toute confiance,
Pleine d'amour, d'espoir vers d'autres destinations.
J'ai frayé un chemin à travers cette ronde,
Assouvir ma curiosité, ne point la froissée,
celle d'un troubadour, à l'esprit bien retroussé,
Quand j'ai vu une bohème, joliment habillée,
Portant une longue jupe au corsage scintillé.
Elle chantait sa douleur, avec une grande foi,
La foule en liesse applaudissait dans la joie.
Elle était d'une légèreté et d'une grâce,
Son corps enchanté toute âme sur la place.
Les enfants sautillaient, quant aux vieux, que silence,
Écoutant ses récits aux belles résonances.
Et moi, esprit inondé, sous mes haillons, féal,
A la recherche de thème, de vers, d'un idéal,
Au fond de mon escarcelle, niche peu de sou,
je plonge mes phalanges, plus braves que les sioux.
Recherchant ma richesse au creux de mon âme,
Cette prairie clairsemée d'amour et d'amitié,
Témoignant de mon grand respect à cette femme,
je jette tout mon lyrisme, tel argentier.
Elle chante et danse en cercle avec aisance,
Laissant tous ces petites gens émerveillés,
Elle a su garder toute sa complaisance,
Cette fille qu'on avait su, si bien élevée.
Il parait chez elle, un ancien héritage,
De conter la vie en rimes et versification.
Panser blessures et redonner avantage,
A ces milliers de gens, qui prêtent attention.
A la fin, elle salut d'une révérence,
Les villageois, qui lui témoignent admiration.
Elle reprend son chemin en toute confiance,
Pleine d'amour, d'espoir vers d'autres destinations.