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Comme je ne choisis pas de tomber amoureux
Ne me laissant le choix de passions envahies
Que le désir qui naît me rend souvent malheureux
Que je ne maîtrise raison et que vienne folie
Comme je la vois qui tombe tendrement dans mes bras
Croyant que cette chose est la pierre, la cause
S’emporte chaque fois dans l’envie de plaisir sous draps
Presque l’unique choix que l’amour propose
Comme toujours j’offre à corps perdu mon âme
Lui donner des baisers, ou juste cacher la flamme
Qui brille au fond de moi, tait à la femme
Se met alors à nu son esprit et ses drames
Comme je voudrais trouver la parole bien faite
Les mots qu’il faut donner, l’atème et puis la quête
La liaison verbale qui façonnent les êtres
La communication, socle des cœurs en fêtes
Comme je me laisse avoir à la facilité
Que pris dans les volutes du ventre et de mon vit
Tendresse, baiser, les mains qui parlent en chantier
J’en oubli la promesse qu’après l’échec nous dites
Comme j’aborde surtout avec romance mauve
Sur mes rêves la nuit, sublimant l’œuvre souhaité
Négligeant le carmin, le bleu roi qui s’oppose
La maîtrise m’échappe, l’angelot reproduit vanité
Comme il me faudrait être sage, d’un ouvrage au travail
Concentré et pointant chaque jour passant
Le destin que je sens au fond de mes entrailles
D’une histoire blottit au chaos de mon sang
Ne me laissant le choix de passions envahies
Que le désir qui naît me rend souvent malheureux
Que je ne maîtrise raison et que vienne folie
Comme je la vois qui tombe tendrement dans mes bras
Croyant que cette chose est la pierre, la cause
S’emporte chaque fois dans l’envie de plaisir sous draps
Presque l’unique choix que l’amour propose
Comme toujours j’offre à corps perdu mon âme
Lui donner des baisers, ou juste cacher la flamme
Qui brille au fond de moi, tait à la femme
Se met alors à nu son esprit et ses drames
Comme je voudrais trouver la parole bien faite
Les mots qu’il faut donner, l’atème et puis la quête
La liaison verbale qui façonnent les êtres
La communication, socle des cœurs en fêtes
Comme je me laisse avoir à la facilité
Que pris dans les volutes du ventre et de mon vit
Tendresse, baiser, les mains qui parlent en chantier
J’en oubli la promesse qu’après l’échec nous dites
Comme j’aborde surtout avec romance mauve
Sur mes rêves la nuit, sublimant l’œuvre souhaité
Négligeant le carmin, le bleu roi qui s’oppose
La maîtrise m’échappe, l’angelot reproduit vanité
Comme il me faudrait être sage, d’un ouvrage au travail
Concentré et pointant chaque jour passant
Le destin que je sens au fond de mes entrailles
D’une histoire blottit au chaos de mon sang