Hors ligne
Il y a ceux, partis ailleurs, mais que l’on sait ici
Et il y a ceux qui sont ici, mais que l’on sait ailleurs….
Le mouroir des souvenirs.
Ils avaient refermé la porte du passé
Et laissé derrière eux l’histoire d’une vie.
C’était la liberté qu’on leur avait ravie,
Pour des mots écorchés sans cesse ressassés.
Ils ont tout oublié du bon et du moins bon,
Des instants de bonheur et des moindres délices,
Des griffures temps et de leurs cicatrices,
Ils n’ont plus qu’un présent, mais déjà moribond.
Ils promènent leur corps tout le long des couloirs,
Tournent, tournent en rond dans la triste demeure.
Cherchent-ils le chemin d’une paix intérieure,
En faisant mille pas du matin jusqu’au soir ?
J’aimerais tant savoir ce que cachent leurs cœurs
Pleurent-ils en dedans sans l’ombre d’une larme ?
Dites moi seulement s’ils ont encore une arme
Pour chasser la tristesse et toutes les douleurs.
Le 22/11/2018
Et il y a ceux qui sont ici, mais que l’on sait ailleurs….
Le mouroir des souvenirs.
Ils avaient refermé la porte du passé
Et laissé derrière eux l’histoire d’une vie.
C’était la liberté qu’on leur avait ravie,
Pour des mots écorchés sans cesse ressassés.
Ils ont tout oublié du bon et du moins bon,
Des instants de bonheur et des moindres délices,
Des griffures temps et de leurs cicatrices,
Ils n’ont plus qu’un présent, mais déjà moribond.
Ils promènent leur corps tout le long des couloirs,
Tournent, tournent en rond dans la triste demeure.
Cherchent-ils le chemin d’une paix intérieure,
En faisant mille pas du matin jusqu’au soir ?
J’aimerais tant savoir ce que cachent leurs cœurs
Pleurent-ils en dedans sans l’ombre d’une larme ?
Dites moi seulement s’ils ont encore une arme
Pour chasser la tristesse et toutes les douleurs.
Le 22/11/2018