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Il avait calculé le temps qu’il lui restait à vivre
Fait de son mieux présent dans cette vie livide
Préparer tout son corps à des efforts sublimes
Il était prêt maintenant pour son dernier présage
Il savait qu’il était né avec des jambes pour marcher
Des yeux pour pénétrer de multiples contrées
Se prémunir aussi du danger des sauvages
Il comptait sur sa bonne étoile ainsi que son vieil âge
Chaque homme se disait-il devrait faire le tour du monde
Apostrophé vingt années de sa vie pour comprendre
Que cette terre n’est pas à nous, juste de passage
Il aurait tout donné pour ce précieux voyage
Pourquoi craindre l’inconnu qui si tendre
De par ses vertus offre un cœur qui engendre
De la fraternité exergue les reproches
Qui ose dire à l’étranger, tu es de trop et moche
Bien avant de savoir ce qui m’attendrai
Je pris dans mon barda un cahier sans regrets
Et je marchais le long des regs et des villages
Notant sur mon calepin ces amis, leurs adages
Il me nommèrent d’un nom par trois fois reconnu
Du pseudo d’Ismael baptisé je le fus
J’acceptais fier aussi et sans ambages
Voici le sceau du pèlerin sur la route
Il est toujours le bienvenue sans doute
Mais cette conviction vous ne la prenez pas
Car vous êtes des noms qui ne se changent pas
Croyant dans l’héritage d’une engeance prononcée
Vous ne savez, osez et peut-être risquez
Vivre dans la forêts pas très loin du village
Ou vous croyez que les gens ne sont pas ombrage
Le pèlerin avance pas à pas il s’incline
Et devant lui des bonheurs alors se dessinent
Le pèlerin est en tout homme crois moi
Et il fera de lui un rêve de belle voie
Fait de son mieux présent dans cette vie livide
Préparer tout son corps à des efforts sublimes
Il était prêt maintenant pour son dernier présage
Il savait qu’il était né avec des jambes pour marcher
Des yeux pour pénétrer de multiples contrées
Se prémunir aussi du danger des sauvages
Il comptait sur sa bonne étoile ainsi que son vieil âge
Chaque homme se disait-il devrait faire le tour du monde
Apostrophé vingt années de sa vie pour comprendre
Que cette terre n’est pas à nous, juste de passage
Il aurait tout donné pour ce précieux voyage
Pourquoi craindre l’inconnu qui si tendre
De par ses vertus offre un cœur qui engendre
De la fraternité exergue les reproches
Qui ose dire à l’étranger, tu es de trop et moche
Bien avant de savoir ce qui m’attendrai
Je pris dans mon barda un cahier sans regrets
Et je marchais le long des regs et des villages
Notant sur mon calepin ces amis, leurs adages
Il me nommèrent d’un nom par trois fois reconnu
Du pseudo d’Ismael baptisé je le fus
J’acceptais fier aussi et sans ambages
Voici le sceau du pèlerin sur la route
Il est toujours le bienvenue sans doute
Mais cette conviction vous ne la prenez pas
Car vous êtes des noms qui ne se changent pas
Croyant dans l’héritage d’une engeance prononcée
Vous ne savez, osez et peut-être risquez
Vivre dans la forêts pas très loin du village
Ou vous croyez que les gens ne sont pas ombrage
Le pèlerin avance pas à pas il s’incline
Et devant lui des bonheurs alors se dessinent
Le pèlerin est en tout homme crois moi
Et il fera de lui un rêve de belle voie