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Écoutez le bruit sourd de cette carcasse d’acier
Le tac-tac lancinant des essieux fatigués
Un crissement strident quand se met à freiner
Le tchou-chou maintenant en gare va rentrer
Dans les wagons l’on voit des têtes qui dépassent
Qui rentrent ou qui s’en vont, le train sans distinction
Travailleur, voyageur, chacun y a sa place
Les mène avec gaieté sur les rails des cantons
Voyez le fièrement qui entre dans la ville
Il sait que les badauds, les carrosses au repos
D’une allure tranquille, on dirait qu’il défile
Regarderons toujours, l’aimant avec passion
Tous les trains de ce monde ont une âme joyeuse
J’y ai croisé tes yeux en place B vingt-trois
Même celui des banlieues conte des heures heureuses
Et depuis je t’attends à la station « chez moi ».
Le tac-tac lancinant des essieux fatigués
Un crissement strident quand se met à freiner
Le tchou-chou maintenant en gare va rentrer
Dans les wagons l’on voit des têtes qui dépassent
Qui rentrent ou qui s’en vont, le train sans distinction
Travailleur, voyageur, chacun y a sa place
Les mène avec gaieté sur les rails des cantons
Voyez le fièrement qui entre dans la ville
Il sait que les badauds, les carrosses au repos
D’une allure tranquille, on dirait qu’il défile
Regarderons toujours, l’aimant avec passion
Tous les trains de ce monde ont une âme joyeuse
J’y ai croisé tes yeux en place B vingt-trois
Même celui des banlieues conte des heures heureuses
Et depuis je t’attends à la station « chez moi ».