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Le poète se lève tôt pour voir le soleil
Dans le froid ou le chaud qui pointe vers l’est
Entendre les moineaux est pour lui une merveille
Tout comme les arbres sombres vêtues de feuilles épaisses
Dans leur cabaretière il prépare du café
Certains ont une carafe pour infuser le thé
Qu’il boit allègrement commençant la journée
Par un bon remontant qui éveille ses neurones
Après une toilette sommaire, le voilà qui s’assied
Le ciel se pare d’un bleu foncé presque pétrole
Et bien avant que l’aube ne vienne le déranger
Ils se met à écrire les rêves de la nuit folle
Ces étranges histoires qu’il a vu et senti
Et voici maintenant que pointe le soleil
Si le ciel n’est pas couvert de maladresse
D’un gris ou d’un brouillard qui lui cache le reste
De l’aube il se nourrit ainsi que de promesses
Pour cette nouvelle journée qui s’offre à ses visions
Il n’oublie pas le geste ni les jolis prénoms
De ces âmes en détresse qui parsèment ses songes
Le poète se lève tôt et n’aime pas les mensonges
Il commence à écrire des mots sans intentions
Pour dire je suis en vie, je demande pardon
Ne cherchez pas toujours dans mes vers une raison
Elle n’appartient qu’aux hommes qui vivent sans passions
Dans le froid ou le chaud qui pointe vers l’est
Entendre les moineaux est pour lui une merveille
Tout comme les arbres sombres vêtues de feuilles épaisses
Dans leur cabaretière il prépare du café
Certains ont une carafe pour infuser le thé
Qu’il boit allègrement commençant la journée
Par un bon remontant qui éveille ses neurones
Après une toilette sommaire, le voilà qui s’assied
Le ciel se pare d’un bleu foncé presque pétrole
Et bien avant que l’aube ne vienne le déranger
Ils se met à écrire les rêves de la nuit folle
Ces étranges histoires qu’il a vu et senti
Et voici maintenant que pointe le soleil
Si le ciel n’est pas couvert de maladresse
D’un gris ou d’un brouillard qui lui cache le reste
De l’aube il se nourrit ainsi que de promesses
Pour cette nouvelle journée qui s’offre à ses visions
Il n’oublie pas le geste ni les jolis prénoms
De ces âmes en détresse qui parsèment ses songes
Le poète se lève tôt et n’aime pas les mensonges
Il commence à écrire des mots sans intentions
Pour dire je suis en vie, je demande pardon
Ne cherchez pas toujours dans mes vers une raison
Elle n’appartient qu’aux hommes qui vivent sans passions