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J’ouvre la porte de la compréhension
Apparaît alors une douce perception
Suis je enivré de toi madone
Je suis ivre, que dieu me pardonne
Ce qui ouvre les yeux est le bonheur aux cieux
Le ciel que j’atteind lorsque je suis ripailleux
Est une douce lumière faite de beauté
Et sans vergogne je m’y laisse glissé
Ce mot arabe qui est l’universel alcool
Comme le traduisent les berbères à tous ceux qui s’accolent
Au bien être, aux phalanges rêveuses
Quand sur ton corps se promènent mes mains baladeuses
J’ouvre la porte de la compréhension
Je me sert un autre canon
Celui-la qui me garde en apesanteur
Il y a des moments pour l’ivresse et d’autres pour les pleures
Apparaît alors une douce perception
Suis je enivré de toi madone
Je suis ivre, que dieu me pardonne
Ce qui ouvre les yeux est le bonheur aux cieux
Le ciel que j’atteind lorsque je suis ripailleux
Est une douce lumière faite de beauté
Et sans vergogne je m’y laisse glissé
Ce mot arabe qui est l’universel alcool
Comme le traduisent les berbères à tous ceux qui s’accolent
Au bien être, aux phalanges rêveuses
Quand sur ton corps se promènent mes mains baladeuses
J’ouvre la porte de la compréhension
Je me sert un autre canon
Celui-la qui me garde en apesanteur
Il y a des moments pour l’ivresse et d’autres pour les pleures