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Depuis que nous échangeons avec de l’encre
Ces tranches de vie qu’ils nous restent encore
Je vous exprime mon bonheur devant vos accords
Qui emplissent de croyance mon cœur et puis mon ventre
Vous percevez l’écrin et soignez mon âme
Malgré l’absence de vous et ces années passées
Lorsque si loin jamais nous ne nous croisâmes
Il me semble vivre ensemble le même projet
Dans cette vie qui nous endeuilla de tant de drames
Tentant malgré tout d’aimer apparaît de fait
Toute la terre en nous par voyage et beauté
Et je me revois marchant sur le chemin des Dames
Vous qui êtes né entre deux guerres sales
Survivante d’une chronique rude et brutal
Vous avez été femme forte et combattante
Quand depuis longtemps je rêvais dans l’attente
D’une histoire au périples d’un aventurier
Sur ce dessein vous m’aviez depuis longtemps précédez
Même si aujourd’hui gaiement je vous crois bien sage
Il nous reste encore sûrement quelques années d’adages
Je souhaite que le fruit de nos tribunes sur papier
Depuis peu durent et les traits d’esprit partagés
Puissent pérenniser encore le temps d’une ère palabre
Que de thèmes nous pouvons exprimer affables
Car nous sommes de raison, d’esprit, de sang lier
Et j’aimerais tant pour vous plaire vous invitez
Autant pour tout ce que vous m’avez apportez
Vivre avec vous en silence à l’opéra Garnier
Un moment de partage avec Bach ou Wagner
Ce serait là pour moi un grand rêve salutaire
Attendant que je vienne en votre cité
A Paris, près du père Lachaise me promenez
Je vous donne un simple baiser
Je vous dois bien cela car de votre âge avisé
La bienveillance et le propos de vos pensées
A mon égard et sans attente m’ont bouleverser
Merci chère tante
Et que dieu loue et garde encore bien lentement
Près de nous, nos missives ensoleillées d’antan.
Ces tranches de vie qu’ils nous restent encore
Je vous exprime mon bonheur devant vos accords
Qui emplissent de croyance mon cœur et puis mon ventre
Vous percevez l’écrin et soignez mon âme
Malgré l’absence de vous et ces années passées
Lorsque si loin jamais nous ne nous croisâmes
Il me semble vivre ensemble le même projet
Dans cette vie qui nous endeuilla de tant de drames
Tentant malgré tout d’aimer apparaît de fait
Toute la terre en nous par voyage et beauté
Et je me revois marchant sur le chemin des Dames
Vous qui êtes né entre deux guerres sales
Survivante d’une chronique rude et brutal
Vous avez été femme forte et combattante
Quand depuis longtemps je rêvais dans l’attente
D’une histoire au périples d’un aventurier
Sur ce dessein vous m’aviez depuis longtemps précédez
Même si aujourd’hui gaiement je vous crois bien sage
Il nous reste encore sûrement quelques années d’adages
Je souhaite que le fruit de nos tribunes sur papier
Depuis peu durent et les traits d’esprit partagés
Puissent pérenniser encore le temps d’une ère palabre
Que de thèmes nous pouvons exprimer affables
Car nous sommes de raison, d’esprit, de sang lier
Et j’aimerais tant pour vous plaire vous invitez
Autant pour tout ce que vous m’avez apportez
Vivre avec vous en silence à l’opéra Garnier
Un moment de partage avec Bach ou Wagner
Ce serait là pour moi un grand rêve salutaire
Attendant que je vienne en votre cité
A Paris, près du père Lachaise me promenez
Je vous donne un simple baiser
Je vous dois bien cela car de votre âge avisé
La bienveillance et le propos de vos pensées
A mon égard et sans attente m’ont bouleverser
Merci chère tante
Et que dieu loue et garde encore bien lentement
Près de nous, nos missives ensoleillées d’antan.