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Ce triste visage, ces larmes que tu voies,
Eurent dernièrement occupé mon esprit.
Oui, un grave sujet dont mon coeur s'est épris,
M'assure amèrement d'une pénible voie...
Lors je porte sur moi un tourment depuis Foix,
Ville où j'ai dû laisser une amour qui me pris...
Je veille à n'embrasser d'aucun dieu le mépris,
Me laissant surprendre à rêver d'elle, sans foi.
Cent fois je l'ai prisé au risque d'un refus,
Et cent fois repoussé, je la quittai confus,
L'acquittant d'une amour sincère et dévouée...
J'atteste devant toi de lui rester fidèle,
Dussai-je, un jour, mourir sans connaître auprès d'elle,
Ses beautés que mes vers n'ont cessé de louer...
13 novembre 1996 (22 ans)
Eurent dernièrement occupé mon esprit.
Oui, un grave sujet dont mon coeur s'est épris,
M'assure amèrement d'une pénible voie...
Lors je porte sur moi un tourment depuis Foix,
Ville où j'ai dû laisser une amour qui me pris...
Je veille à n'embrasser d'aucun dieu le mépris,
Me laissant surprendre à rêver d'elle, sans foi.
Cent fois je l'ai prisé au risque d'un refus,
Et cent fois repoussé, je la quittai confus,
L'acquittant d'une amour sincère et dévouée...
J'atteste devant toi de lui rester fidèle,
Dussai-je, un jour, mourir sans connaître auprès d'elle,
Ses beautés que mes vers n'ont cessé de louer...
13 novembre 1996 (22 ans)
