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Comment peut-on être à ce point
Victime d’un sorcier vaudou
Qui met dans votre corps sans fin
Un poison détruisant en vous
Le désir de vivre serein
Et de respirer sans le joug
D’un sortilège qui vous rend fou
D’une magie noire au chagrin
Vous mettant chaque jour à genoux
Comment peut-on, assassinant,
Un maléfice et son auteur
Sans jamais faire couler le sang
Détruire le charme et ses malheurs
Je ne saurait dire ou et quand
Cette chose prit autant d’ampleur
Détruisant tout avec le temps
Toutes les bribes doucement
Mon corps brûlant dans la douleur
Comment peut-on tuer l’ardeur
Pourrissant un peu chaque jour
D’un venin qui fait son chemin
D’un enchantement destructeur
Tout ce qui en vous est amour
Tout ce qui en vous est bonheur
Il est le mal, il est malin
Et trouve sa place en votre main
Celui qui ordonne vos peurs
Pour briser cet envoûtement
Faites appel à l’ensorceleur
Dites lui bien que ces tourments
Sont du fait de sa propre odeur
Et que vous partez maintenant
Vers d’autres rives, d’autres douceurs
Loin de son esprit si violent
Qui vous lacère et dont on meurt
Qu’enfin, renaisse votre cœur
Victime d’un sorcier vaudou
Qui met dans votre corps sans fin
Un poison détruisant en vous
Le désir de vivre serein
Et de respirer sans le joug
D’un sortilège qui vous rend fou
D’une magie noire au chagrin
Vous mettant chaque jour à genoux
Comment peut-on, assassinant,
Un maléfice et son auteur
Sans jamais faire couler le sang
Détruire le charme et ses malheurs
Je ne saurait dire ou et quand
Cette chose prit autant d’ampleur
Détruisant tout avec le temps
Toutes les bribes doucement
Mon corps brûlant dans la douleur
Comment peut-on tuer l’ardeur
Pourrissant un peu chaque jour
D’un venin qui fait son chemin
D’un enchantement destructeur
Tout ce qui en vous est amour
Tout ce qui en vous est bonheur
Il est le mal, il est malin
Et trouve sa place en votre main
Celui qui ordonne vos peurs
Pour briser cet envoûtement
Faites appel à l’ensorceleur
Dites lui bien que ces tourments
Sont du fait de sa propre odeur
Et que vous partez maintenant
Vers d’autres rives, d’autres douceurs
Loin de son esprit si violent
Qui vous lacère et dont on meurt
Qu’enfin, renaisse votre cœur