Poème Vieillir loin de chez soi

c'est terrible le fait de se trouver en maison de retraite!!!!

A priori ICI la dame a été placée sans son consentement tacite????

je connais bien ces lieux.....on a été obligés de placer la belle mère en EHPAD suite à une chûte!!!

ton poéme est plus vrai que nature!!!



bravo


amitiés


RP

Triste réalité Michel!
Très beau poème qui m'émeut... Voir la pièce jointe 2562
Belle soirée
Amitiés
Isabelle

Je partage ce poème interprété par Odette Jouve, j'en ai eu les larmes aux yeux à l'écouter!

non t'as pas pigé.....J'ai mis une vraie Prise d'Otage.....en ligne!!!!



RP

Pas évident comme sujet
Dans ton texte Elle ses seuls mots sont le silence jusqu'à la dernière ligne
et je trouve perso que t'as traité le sujet par l'œil des enfants qui la dépose comme on range ses courses, du coup, je me demande si ton avis est impartiale, mais je comprends vu que t'as bossé dedans durant huit ans.
En tout cas merci pour la lecture.

Pas évident comme sujet
Dans ton texte Elle ses seuls mots sont le silence jusqu'à la dernière ligne
et je trouve perso que t'as traité le sujet par l'œil des enfants qui la dépose comme on range ses courses, du coup, je me demande si ton avis est impartiale, mais je comprends vu que t'as bossé dedans durant huit ans.
En tout cas merci pour la lecture.

c est malheureux et desesperant car j ai des exemples aussi comme cela ,,et surtout s ils n ont plus leurs tetes les pauvres ,,ils leur arrivent pas mal d'incidents ,,maman aprés quelques visites dans ces maisons de soins mes freres ont décidé de la garder a la maison et elle s est eteinte deux mois apres mais ce sont mes images les plus tristes qu il me reste mais au moins on était pres d elle ,,,

Très triste ton poème, tu as su vraiment bien décrire sur ce thème difficile.....

Nous avons été obligé de placer ma mère en 2017 à l' EHPAD du faite qu'elle perd la tête, et en plus elle a été agressée par un pensionnaire et à perdu son oeil gauche, aujourd'hui j'ai appris qu'on l'avait trouvé par terre à côté de son lit, le médecin a dit que sa prothèse à la hanche est brisé et on ne sera jamais ce qui c'est passé comme pour l'agression...... J'ai beaucoup de peine pour ma maman qui est devenue un légume, elle me reconnait mais elle n'a plus sa tête.....

Après ce poème si réaliste je veux terminer par mon petit commentaire.
Maman a sa demande à été aux petites soeurs des pauvres à 97 ans ou elle est restée 3 ans. A la fin elle ne me reconnaissais plus et refusais de m'embrasser. C'est terrible. Je n'en dirai pas plus.........
Amicalement
Gaby

Après ce poème si réaliste je veux terminer par mon petit commentaire.
Maman a sa demande à été aux petites soeurs des pauvres à 97 ans ou elle est restée 3 ans. A la fin elle ne me reconnaissais plus et refusais de m'embrasser. C'est terrible. Je n'en dirai pas plus.........
Amicalement
Gaby

Terrible Michel, un poème fort, poignant, difficile d'exprimer mon ressenti,,

Bonjour Michel,

Tu as bien su par la retenue de tes vers exprimer ces émotions retenues par ces personnes délaissées "pour leur bien" et interpeller notre conscience sur leurs ressentis.

Belle journée
Pierre touché

Un jour ils sont venus au foyer
Prendre des renseignements
Une inscription, un dossier
Qu’ils ont remplis scrupuleusement
Et sans prévenir maman
L’ont inscrite en attendant

Ils sont arrivés un matin
Devant, elle, tremblait des mains
Le coffre était plein de cartons
Faisant mine comme des gosses
Qui offrent un jolie présent
Une drôle de vacherie de carrosse

Elle est entré en résidence
La pogne dans sa canne vibrait
Des dames blanches l’attendaient
Les enfants trouvaient ça ravissant
On dirait dit l'hôtel de France
Sans ruminer elle a souri

Elle regardait un peu partout
On l’a accompagné dans une chambre
Voici ton nouveau chez toi
Tu y seras bien tu verras, tout sera tendre
Et puis on viendra te voir
Elle, a baissé le regard

Tu vois il y a déjà tes meubles
Ils y ont mis un peu d’affaires
Ils ont choisit un plaid tout neuf
Qu’ils on posé sur ses épaules
Assied toi là pendant qu’on range
Elle, les a regardé faire

C’était bientôt l’heure du repas
Ils l’ont accompagné jusqu’en bas
Et l’embrassant sur ses joues rouges
Ils n’ont pas dit grand chose
Juste qu’ils reviendraient bientôt
Elle, a pleuré comme une rose.

Un repos bien mérité, une situation bien décrite merci pour la lecture
DanielM