Hors ligne
Ô vestale du feu , qui dévore mon cœur
La soie de tes cheveux, caresse mon bonheur
Tes yeux aussi clairs, qu'une calme mer bleue
Et cette nuance de vert, qui m'a rendu amoureux
De ton doux sourire, tes charmants mots tendres
Je voudrais me nourrir, ne pouvant m'en défendre
Je sombre dans l’abîme, prisonnier de tes charmes
Je sombre dans l’abîme, prisonnier de tes charmes
Ainsi devenu victime comblée, de ton âme
Dans la folie des sens , de mon coeur trop vieux
L'étincelle est l'essence , d’où renaîtra le feu